Me voici enfin dans la grande bibliothèque de Nuln
- Bonjour, je suis à la recherche de manuscrit concernant le savant Trevithick
- Ook Ook
- merci
alors Travelin, Trenear, ah voila Trevithick.
Comme tout bon scientifique voici que je me lance dans l’écriture de mon journal. bla bla bla
passe la page
Depuis, j’ai repris les traces de mon père bla bla bla
c'est ainsi que j'arrivais dans une petite auberge de la capital impériale Altdorf.bla bla bla
Voila 3 jours que je suis en ce lieu, et je n'avais plus qu'à attendre la validation de mon inscription au collège. je vais enfin pouvoir suivre les traces de mon père.
En attendant j'ai sympathisé avec deux autres voyageurs. Le premier ce nomme Dieter, il est à la recherche d'un voleur de bétail à ce que j'ai compris. Cet homme est un chasseur de prime, et contrairement à ce que je pensais, il n'avait rien de brute que je m'imaginais. Par exemple, il n'était pas bourru. Ce qui n'est pas le cas de mon second compagnon, il faut dire que pour lui c'est génétique, il fait parti de la grande famille des nains. A ce que j'ai compris, il serait dans la capitale pour livrer une grosse commande passé auprès de son clan.
Je ne pensais pas que je serais amener à connaître ses deux voyageurs autrement qu'autour d'une bonne bière.
En fait cette histoire à commencée par un simple cri de femme dans la rue. Dieter en bon héros à été le premier sur le qui vive et bien qu'il n'aime pas raconter ce passage de l'histoire il a immédiatement sauté par la fenêtre pour secourir cette femme. Dommage pour ses chevilles, ce genre d'action ne ce voit que dans les récits que nous conte les troubadours.
Le temps que je sorte trois hommes avaient fait irruption dans la ruelle. Et l'un d'eux avait déjà activé le mécanisme de son arbalète. Mécanisme qui soit dit en passant est d'une extrême précision puisqu'il faut... hum hum désolé
Heureusement, le carreau est venu s’échouer sur la des volets de la taverne. Mais la jeune femme en voulant l'esquiver c'était violemment heurté la tête.
Alors que nous voulions la secourir, les trois hommes nous rattrapèrent et nous ordonnèrent de nous laisser cette femme, qu'il présentait comme une voleuse.
Durant la joute verbale, un chat noir sorti du sac de la demoiselle.
Pendant que Lur, notre ami nain, s'occupais du chat. Dieter et moi-même essayons de faire entendre raison aux hommes, qu'il fallait examiner la blessure de la jeune fille rester inconsciente depuis sa chute. Mais rien n'y fit.
Alors qu'un déroulement plus musclé semblait se profiler et devant l'impertinence et la provocation de ses hommes je ne fis d'autre solution que de laisser s'échapper le chat en lui faisant peur, pendant que mes compagnons faisaient face aux menaces armées des trois gardes.